La noción de «l’oeil assiégé» de Bussière-Perrin aplicada al análisis de Le peintre neo-impressionniste de Émile Cohl
-
1
Universidad Complutense de Madrid
info
ISSN: 0985-5939
Argitalpen urtea: 2015
Zenbakien izenburua: Homenaje a Annie Bussière Perrin
Alea: 30
Zenbakia: 1-2
Orrialdeak: 59-97
Mota: Artikulua
Beste argitalpen batzuk: Sociocriticism
Laburpena
Nous analysons ici le court métrage Le peintre néo-impressionniste fait en 1910 par Émile Cohl, qui était l’un des membres les plus éminents du groupe de les incohérentes dans les années 80 du XIX siècle à Paris. L’analyse soulève une réutilisation de la notion de l’oeil assiégé employé par Annie Bussière-Perrin dans son travail méticuleux sur Juan Goytisolo. Le siège du regard d’un acheteur d’art en face de sept peintures monochromes qui développent des dessins animés constitue le cœur du film. L’acheteur d’art accepte enfin toutes les pièces qui initialement lui avaient produit l’inconfort physique. Le cinéaste rend hommage à l’écrivain incohérent Alphonse Allais qui en 1897 avait publié une série de sept tableaux monochromes.