Luchas de auto-afirmación disciplinar en la universidad francesa de la Tercera Repúblicael debate Simiand-Seignobos

  1. Domínguez González, David J. 1
  1. 1 Universidad Complutense de Madrid
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    Universidad Complutense de Madrid

    Madrid, España

    ROR 02p0gd045

Revista:
Empiria: Revista de metodología de ciencias sociales

ISSN: 1139-5737

Año de publicación: 2020

Número: 45

Páginas: 191-213

Tipo: Artículo

DOI: 10.5944/EMPIRIA.45.2020.26309 DIALNET GOOGLE SCHOLAR lock_openDialnet editor

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Resumen

En este artículo revisaremos el clásico debate que enfrentó a Simiand y Seignobos en la primera década del siglo XX. Por lo general, la imagen oficial del asunto retiene sólo el aspecto epistemológico de la disputa. Se recuerda a esta última por la crítica de Simiand a los determinismos implícitos (ídolo político, individual, cronológico) en el método de los historiadores. Lo que se propone, sin embargo, en este texto es un cambio de mirada en la comprensión de esta disputa intelectual. Lejos de agotar el interés en la confrontación sobre las prácticas científicas normales, se procederá a insertar la disputa en el marco de una lucha más amplia que opone dos candidaturas (sociología e historia) a la hegemonía de las ciencias humanas de la universidad francesa. Para ello es preciso analizar qué margen de cobertura institucional detentaba en ese momento la disciplina histórica y la sociología en el marco de la enseñanza superior republicana. Por último, se reflexiona sobre la falta de simetría que caracterizó a la relación entre ambas disciplinas, para concluir que tal disparidad quizá sea la causa del semifracaso del ataque durkheimiano frente a los historiadores.

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